La Guinée équatoriale est secouée par un scandale impliquant Baltasar Ebang Engonga, un haut fonctionnaire et une personnalité publique de premier plan liée au président du pays, Teodoro Obiang Nguema Mbasogo. Engonga, qui était directeur de l’Agence nationale d’investigation financière (ANIF), a été démis de ses fonctions par décret présidentiel après la publication de plusieurs vidéos intimes le montrant avec plusieurs partenaires, déclenchant une frénésie médiatique internationale.
Scandale : les vidéos privées de Baltasar Ebang Engonga rendues publiques
Les sextapes d’Engonga sont devenues virales sur les réseaux sociaux, avec des plateformes comme Twitter inondées de réactions, de mèmes et même de parodies utilisant le hashtag #BaltasarEbangEngonga. Les images explicites, qui semblent avoir été prises sur une période de temps dans différents endroits, notamment le bureau d’Engonga au ministère des Finances, ont ajouté au tollé public et à l’examen minutieux en ligne.
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La publication des vidéos d’Engonga a fait des vagues bien au-delà de la Guinée équatoriale. De la superstar nigériane Davido au rappeur français Kaaris, l’incident a attiré l’attention de célébrités internationales, suscitant d’intenses discussions en ligne.
Le président ordonne le renvoi immédiat de Baltasar au milieu d’une controverse virale
En réponse au tollé, le président Teodoro Obiang Nguema Mbasogo a ordonné mercredi le renvoi d’Engonga de l’ANIF par décret, signalant une approche de tolérance zéro face au scandale. Le décret est intervenu dans un contexte de pression croissante et d’appels à la responsabilité concernant l’implication d’Engonga dans les enregistrements scandaleux et les allégations de mauvaise conduite dans le cadre de ses fonctions officielles.
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La controverse s’est intensifiée lorsque l’une des partenaires d’Engonga, le visage caché, est apparue à la télévision d’État pour exprimer son indignation face à la fuite des images. Elle a allégué que, bien qu’elle ait initialement consenti à être filmée, on lui avait assuré que les bandes seraient supprimées immédiatement après leur visionnage. Au lieu de cela, les vidéos auraient été stockées puis divulguées sans son consentement, ce qui aurait porté atteinte à sa réputation et à son honneur, selon elle.
Dans son témoignage télévisé, la femme a demandé comment et pourquoi ces vidéos privées ont été conservées, exigeant une enquête sur le stockage et la diffusion non autorisés des images. Cette accusation a mis davantage de pression sur Engonga, qui fait déjà face à des problèmes juridiques en raison d’accusations de détournement de fonds et est actuellement détenu à la prison de Black Beach à Malabo.
Crédit Photo : Buzz