Le cas Baltasar n’est pas près de quitter l’actualité, tant les internautes prennent du plaisir à discuter de ce scandale sexuel qui éclabousse même l’État. Mais en dehors de l’affaire principale, de nouveaux Baltasar sont aussi évoqués sur les réseaux sociaux, comme pour dénoncer un fléau.
Les cas Baltasar font partie du quotidien
Comme dans l’affaire Diddy où les internautes voyaient déjà d’autres pontes de l’industrie musicale tomber, le schéma se reproduit pour le cas Baltasar. En effet, ce cadre équato-guinéen qui a vu des centaines de ses s€xtapes (faites avec des femmes mariées) fuiter est considéré comme une partie visible de l’iceberg.
Selon les internautes, Baltasar se donnant à de tels actes dans des bureaux est quelque chose qui se produirait chaque jour et pas qu’en Guinée Equatoriale. Partant de ce principe, beaucoup prédisent qu’un scandale pareil pourrait encore éclater.
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Sur les réseaux sociaux, les créateurs de contenus font ainsi allusion à certains hommes de pouvoir, sans les citer nommément. Balthazar est même devenu dans la foulée un nom commun pour désigner et dénoncer ces probables pervers de service. De plus, la promotion canapé, le harcèlement au travail ou encore la dimension spirituelle de ces rapports s€xuels, sont entre autres des sujets qui font l’actualité.
Cependant, la vague d’indignation causée par l’affaire Baltasar et l’ampleur qu’elle prend devraient certainement emmener ceux qui possèdent de telles vidéos à les supprimer. Et comme une alerte, les personnes habituées à ces comportements prendront sans doute plus de précautions afin d’éviter un nouveau cas Baltasar.
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Commandez MaintenantLes femmes de bureau en prennent pour leur grade
Par ailleurs, le scandale Balthazar jette aussi une sorte d’opprobre sur les femmes souvent habillées décemment et travaillant dans les bureaux. En effet, ces dernières étaient considérées jusqu’ici comme plus pieuses par rapport aux femmes tatouées, celles qui exposent leur anatomie de trop ou encore celles dites aux mœurs légères.
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Mais depuis la fuite des vidéos dans lesquelles l’on aperçoit les pseudo-modèles de la société se donner à des actes dépravants, la balance semble tourner en faveur du second groupe. Et pourtant, les réseaux sociaux n’ont pas toujours été tendres avec ces dernières qui étaient autrefois critiquées et traitées de tous les noms d’oiseaux. Le vent semble décidément tourner avec le cas Baltasar.