Janice Aurore Moussitou Mackaya, plus connue sous le nom de Créol, est une véritable sensation sur la scène musicale africaine.

La chanteuse et compositrice gabonaise, née le 16 août 1989, s’est forgée une réputation pour sa beauté époustouflante, sa personnalité audacieuse et son talent indéniable. Surnommée « La Diva » et « Fantastik », elle a captivé le public avec sa présence scénique électrisante et son style sensuel.

Des débuts du Gospel à la superstar africaine

Avant de devenir l’icône qu’elle est aujourd’hui, elle a commencé son parcours musical dans la musique gospel. Cependant, sa polyvalence l’a rapidement amenée à explorer le RnB, le Zouk et le Dancehall, où elle a vraiment brillé. Issue d’une famille de musiciens, son père Mackjoss étant une légende de la musique gabonaise et son frère Brake Makaya également chanteur, Créol était destinée à la grandeur.

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Son titre à succès « Bonobo », avec Shan’L, est devenu un énorme succès, recueillant plus de dix millions de vues sur YouTube et consolidant son statut de star continentale. Au fil des ans, elle a récolté de nombreuses distinctions, notamment des victoires aux African Talent Awards et aux Bweli Tribe Awards.

L’offre choquante de 50 millions qu’elle a refusée

La chanteuse n’a jamais reculé devant la controverse, et sa récente révélation a provoqué une onde de choc à Abidjan. La chanteuse a déclaré avec audace : « On m’a proposé 50 millions à Abidjan pour une réunion, j’ai refusé. » Alors que beaucoup spéculaient sur la nature de la proposition, elle est restée sans complexe, restant ferme dans ses principes et son estime de soi.

Une femme de conviction et d’éveil spirituel

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Au-delà de sa musique et de sa prestance éblouissante, Créol est une femme aux convictions spirituelles profondes. Elle a ouvertement déclaré sa transition du christianisme au kémitisme, la tradition spirituelle ancestrale africaine. « Si c’est ce que vous appelez de la sorcellerie, alors je plaide coupable », a-t-elle déclaré. « Ce n’est pas parce que ma mère et ma grand-mère sont toutes deux chrétiennes que je dois l’être simplement en suivant. C’est ma vie, j’ai le droit de me remettre en question. »

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