Baltasar Ebang Engonga, ancien directeur général de l’Agence nationale d’investigation financière (ANIF) de Guinée équatoriale, a été acquitté par la Cour suprême du pays alors qu’il était au centre d’un scandale impliquant des vidéos explicites. La décision de la cour met en lumière les raisons pour lesquelles les accusations portées contre lui n’ont pas résisté à un examen juridique.

Le scandale qui a secoué la Guinée équatoriale

La controverse a commencé lorsque des vidéos compromettantes de Baltasar Ebang Engonga en train de se livrer à des actes intimes avec plusieurs femmes ont fait surface en ligne. Ces enregistrements, dont certains auraient été filmés dans son bureau, ont suscité l’indignation du public et ont conduit à des poursuites judiciaires contre lui.

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Toutefois, au cours du procès, le tribunal n’a trouvé aucune preuve permettant de condamner Baltasar. Les juges ont déterminé que les femmes présentes dans les vidéos étaient des adultes qui avaient pleinement consenti à leur implication.

Les principales raisons de l’acquittement Baltasar Ebang Engonga

Le tribunal a souligné plusieurs facteurs critiques dans l’acquittement de Baltasar :
– Le consentement a été établi : Toutes les femmes impliquées ont confirmé que leurs relations avec Baltasar étaient consensuelles.
– Aucune preuve de coercition : L’enquête n’a trouvé aucune preuve que Baltasar ait contraint ou manipulé l’une des femmes pour qu’elles participent.
– Aucune transmission de maladies : Les examens médicaux ont confirmé que Baltasar n’avait transmis aucune infection sexuellement transmissible à ses partenaires.

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L’une des femmes impliquées, qui est mariée, a déposé une plainte contre Baltasar. Elle a affirmé que si certaines de leurs rencontres ont été enregistrées avec son consentement, d’autres ont été filmées sans lui. Elle a également exprimé sa profonde détresse face à la fuite des vidéos en ligne, affirmant qu’elles n’étaient jamais destinées à être visionnées en public.

Cette plainte a mis en évidence le fardeau émotionnel des personnes impliquées, bien que le tribunal ait finalement statué qu’il n’y avait pas suffisamment de preuves pour impliquer Baltasar dans des actes répréhensibles.

Crédit Photo : Gabon Time