Les avocats représentant le rappeur Diddy font la une des journaux car ils affirment que leur client est la véritable victime dans une tempête de « déclarations incendiaires » et de « théories de conspiration farfelues ».
Dans un dossier récent déposé au tribunal, l’équipe juridique de haut niveau de la star américain a exhorté le juge Arun Subramanian à émettre une ordonnance qui empêcherait les témoins potentiels de commenter publiquement l’affaire.
Une bataille juridique qui prend de l’ampleur
En septembre dernier, Diddy a été accusé de graves accusations, notamment de complot de racket, de trafic sexuel et de transport pour se livrer à la prostitution. Ses avocats affirment que la frénésie médiatique actuelle autour de ces accusations a un impact négatif sur son droit à un procès équitable. Ils affirment que les accusateurs répètent des allégations sans fondement, notamment des allégations bizarres selon lesquelles le rappeur aurait utilisé de l’huile pour bébé mélangée à des drogues du viol, ce qui, selon ses avocats, porte atteinte à sa réputation.
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« M. Combs a été la cible d’un flot incessant d’allégations de la part de témoins potentiels et de leurs avocats dans la presse« , ont déclaré les avocats dans leur dossier. Ils ont également critiqué les rapports suggérant que des agents fédéraux ont saisi « 1 000 bouteilles » d’huile pour bébé dans les propriétés de Sean Combs à Miami et à Los Angeles, alléguant une utilisation abusive liée aux accusations.
Théories du complot contre Diddy et assassinat de personnage
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Commandez MaintenantL’équipe juridique a souligné que certaines allégations sont non seulement infondées mais également absurdes. Ils ont fait référence à un article du Daily Beast dans lequel l’avocat d’Ashley Parham, victime présumée de viol, accusait le rappeur d’avoir ajouté de l’huile pour bébé à une drogue du viol. Parham poursuit Diddy, affirmant qu’elle a été agressée en 2018. Elle l’a notamment lié au meurtre infâme de Tupac Shakur.
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Les allégations s’étendent aux « Freak Offs », décrits comme des performances sexuelles élaborées prétendument orchestrées par Sean Combs, où les participants auraient besoin de liquides intraveineux en raison d’efforts extrêmes et de la consommation de drogues. Le rappeur a plaidé non coupable des accusations de coercition et d’abus, affirmant qu’il avait utilisé des tactiques d’intimidation, notamment du chantage et de la violence, pour faire taire les victimes.
Actuellement, Diddy est toujours incarcéré au Metropolitan Detention Center de Brooklyn, car deux juges lui ont refusé la libération sous caution. La semaine dernière, ses avocats ont pris de nouvelles mesures, demandant aux procureurs de divulguer l’identité de ses victimes présumées. Cette démarche vise à préparer adéquatement le procès à venir, prévu en mai.