Josey, l’une des voix les plus talentueuses de la musique ivoirienne, utilise les réseaux sociaux pour communiquer avec ses fans et partager sa passion. Cependant, ces plateformes peuvent parfois devenir toxiques, les rivalités entre fans se transformant en attaques personnelles.

Récemment, la chanteuse ivoirienne est devenue la cible d’une campagne de dénigrement vicieuse en ligne. Un utilisateur de TikTok, identifié comme ZDJ, a lancé une série d’insultes diffamatoires à son encontre, la qualifiant de « tchiza » (briseuse de ménage) et de « prostituée ». Les attaques se sont rapidement propagées, alimentant la controverse autour de la chanteuse.

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Josey entame une action en justice

Plutôt que d’ignorer le cyberharcèlement, elle a décidé d’agir. Elle a déposé une plainte officielle et l’affaire a été transmise à la Plateforme de lutte contre la cybercriminalité (PLCC). Les enquêteurs n’ont pas perdu de temps, ont retrouvé ZDJ et l’ont traduit en justice.

Une fois arrêtée, ZDJ a reconnu les accusations et présenté des excuses officielles à Josey. Cependant, ces excuses n’ont pas suffi à effacer les dommages causés. L’affaire a été portée devant le procureur de la République pour diffamation en ligne et atteinte à l’image.

Un avertissement aux cyberharceleurs

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Cette affaire envoie un message fort à ceux qui croient pouvoir se cacher derrière un écran pour propager la haine. Les jours du harcèlement en ligne incontrôlé sont comptés, et l’action décisive de la femme de Serey Dié prouve que les insultes sur les réseaux sociaux peuvent avoir des conséquences réelles.

De son côté, l’artiste ivoirienne reste concentrée sur sa musique et ses fans, déterminée à ne pas laisser la négativité éclipser sa carrière. Sa réponse sert de leçon : le respect doit prévaloir, en ligne comme hors ligne.