Brenda Biya, fille du président camerounais Paul Biya, est à nouveau sous les feux des projecteurs après avoir dépensé 4 010 000 FCFA en une nuit au restaurant Lounge Bliss à Yaoundé.
Cette facture ahurissante, accumulée le 24 décembre 2024, a suscité une vague de colère et de débats à travers le Cameroun. Le montant, équivalent à plusieurs années de salaire d’un enseignant camerounais moyen, a déclenché des discussions sur les privilèges, les inégalités et la responsabilité publique.
Selon des sources, Brenda et son entourage ont passé leur commande à 3h24 du matin, accumulant une facture astronomique. Si les détails exacts de leur consommation extravagante restent inconnus, la somme à elle seule a laissé de nombreux Camerounais sous le choc.
Les réactions se sont multipliées sur les réseaux sociaux. Un internaute s’est moqué de la situation : « Imaginez si elle avait commencé à minuit ! » D’autres ont exprimé leur indignation, qualifiant ces dépenses d’exemple flagrant de déconnexion avec les dures réalités économiques auxquelles sont confrontés les citoyens ordinaires.
Un mode de vie sous surveillance
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Ce n’est pas la première fois que Brenda Biya est au centre d’une controverse. Connue pour son style de vie luxueux, elle a souvent été critiquée pour son manque d’activité professionnelle et sa dépendance apparente aux fonds publics. Les critiques l’ont accusée d’incarner le décalage entre l’élite et les difficultés des Camerounais ordinaires.
« Brenda Biya ne fait rien de sa vie. Elle et ses amis profitent d’un style de vie somptueux pendant que le reste d’entre nous lutte avec les impôts et la survie de base », a commenté en ligne un internaute en colère.
Cet incident jette une lumière crue sur les inégalités sociales flagrantes au Cameroun. Pour beaucoup, les dépenses extravagantes de Brenda sont emblématiques d’un système dans lequel l’élite jouit d’un privilège sans précédent tandis que la majorité des citoyens sont confrontés à des difficultés économiques.
La disparité est flagrante. Le salaire moyen d’un enseignant au Cameroun n’est rien en comparaison du montant dépensé en une seule soirée par Brenda Biya. Pour beaucoup, il ne s’agit pas seulement d’une question de dépenses personnelles, mais d’un reflet de l’injustice économique systémique.