Le scandale entourant les vidéos divulguées impliquant Baltasar Engonga continue de susciter le débat public, avec des voix de diverses sphères qui s’expriment.

Parmi les dernières à commenter, Claire Bahi, une pasteure de Côte d’Ivoire, n’a pas hésité dans sa récente déclaration. Elle a critiqué les actions du fonctionnaire équato-guinéen et a remis en question l’éthique de lui et des personnes impliquées.

La pasteure Claire Bahi s’exprime sur l’affaire Baltasar

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En tant que personnalité publique et chef religieux, l’opinion de Claire Bahi a un poids considérable parmi ses fidèles. S’exprimant sur la question, elle a décrit Ebang comme un « homme méchant et inconscient », reflétant le choc et la déception que beaucoup partagent face au scandale. Bahi a exprimé son dédain pour les actions de Baltasar et a remis en question ses motivations pour filmer des rencontres intimes.

« J’ai entendu dire que Baltasar a le « bâton de Moïse », a-t-elle dit d’un ton moqueur. « Qu’est-ce qu’il y a de si spécial chez ce monsieur ? »

« Pourquoi accepter d’être filmé ? » La pasteure Bahi interroge les femmes impliquées

Alors que Claire Bahi a condamné les actions de Baltasar, elle a également interrogé les femmes qui se sont laissées filmer, se demandant si elles ont été influencées ou manipulées. « Pourquoi ces dames peuvent-elles accepter d’être filmées ? », a-t-elle demandé, exprimant ses inquiétudes quant à la vulnérabilité potentielle et au jugement des femmes impliquées.

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La pasteure a souligné que ses questions n’étaient pas une tentative d’excuser les femmes mais plutôt une réflexion sur l’impact des médias sociaux et de l’exposition publique.

Bahi a ensuite critiqué les motivations du monsieur, affirmant qu’il aurait pu intentionnellement filmer ces rencontres pour son profit personnel. « Apparemment, il avait un objectif à atteindre en filmant ses ébats », a fait remarquer Bahi. Selon elle, le cadre de la Guinée Équatoriale aurait vendu les vidéos à des sites pour adultes, ce qui lui a fait comprendre qu’il exploitait ces femmes à des fins lucratives, sans tenir compte des conséquences pour leur vie et leur famille.

« Il a fait de ces femmes des actrices dans des films pour adultes contre leur gré », a affirmé Bahi. Selon elle, les actions du haut fonctionnaire de la Guinée Équatoriale allaient au-delà du plaisir personnel, et se transformaient en actes délibérés de malveillance et de manipulation.