L’homme politique équato-guinéen Baltasar Engonga, récemment sous les feux des projecteurs après des vidéos virales le montrant entouré d’un grand nombre de femmes, a fermement dénoncé l’utilisation non autorisée de son image à des fins commerciales.
Dans une déclaration relayée par plusieurs médias, il a explicitement averti les entreprises locales et internationales d’arrêter d’exploiter son visage, ainsi que celui de son épouse, sur des produits, notamment des emballages de préservatifs. « Je ne veux jamais voir mon visage ou celui de ma femme sur la couverture d’un préservatif. Respectez ma personnalité », a-t-il déclaré, exprimant son indignation face à ces pratiques qu’il juge irrespectueuses.
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Bien que l’identité de la société incriminée n’ait pas été dévoilée, des sources rapportent que certaines marques ont effectivement utilisé son image pour promouvoir leurs produits. L’affaire a suscité des réactions diverses sur les réseaux sociaux, où les internautes oscillent entre soutien et critique.
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Commandez MaintenantSi certains défendent son droit à l’image, d’autres ironisent sur son récent scandale viral. Une partie de l’opinion publique estime que ces accusations pourraient ternir davantage son image déjà controversée.
Baltasar Engonga semble toutefois déterminé à faire respecter ses droits, envisageant des poursuites contre les marques impliquées. Cette situation illustre les défis auxquels les personnalités publiques sont confrontées dans un monde où la viralité et l’exploitation commerciale sont souvent hors de leur contrôle.