Dans un scandale qui a pris d’assaut les réseaux sociaux, Christelle, une femme qui a eu une relation intime avec Baltasar Ebang Engonga, a déposé une plainte concernant des vidéos non autorisées d’elle qui ont circulé en ligne.
Selon certaines informations, Christelle accuse le haut fonctionnaire de la Guinée équatoriale d’avoir filmé leurs moments privés à son insu et sans son consentement, ce qui suscite de graves inquiétudes quant aux droits à la vie privée et au consentement.
Christelle porte plainte contre Baltasar Ebang Engonga pour des vidéos intimes non autorisées
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Les allégations de Christelle révèlent que bien qu’elle ait eu une relation avec Baltasar, elle n’était pas consciente d’avoir été filmée lors de leurs rencontres intimes. Cette révélation a ajouté une nouvelle dimension à la controverse en cours autour des vidéos divulguées qui auraient été liées à Ebang.
Estimant que sa vie privée avait été violée, Christelle a choisi d’engager une action en justice pour tenir Baltasar responsable de la diffusion de ces images sans son autorisation. Il est ici question de l’importance du consentement dans l’enregistrement et le partage de contenus intimes.
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Le scandale autour des vidéos intimes de Ebang continue de secouer la Guinée équatoriale. Mardi dernier, l’une de ses partenaires a rompu le silence dans un témoignage diffusé sur la télévision nationale, accusant l’ex-directeur général de l’Agence nationale des investigations financières (ANIF) de conserver ses images intimes sans consentement. Cette femme, dont le visage a été flouté, exprime son indignation face à la divulgation de ces vidéos et au non-respect de son intimité.
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Elle admet avoir autorisé Baltasar à filmer leurs moments intimes, pensant que ces enregistrements seraient supprimés après visionnage. Découvrir son image parmi les centaines de vidéos diffusées sur les réseaux sociaux l’a profondément choquée. « Pourquoi a-t-il conservé ces vidéos sans mon accord ? Je veux savoir comment elles se retrouvent maintenant exposées au grand public », a-t-elle déclaré, se disant « humiliée » et atteinte dans son honneur.
Crédit Photo : FAcebook