Zeinab Bancé, chef, aspirante au record du monde Guinness et récemment au centre d’une tempête de feu, a finalement rompu le silence. Après des semaines de réactions négatives pour avoir nié son héritage burkinabè, la star culinaire ivoirienne est à genoux, implorant le pardon.

« Mes ancêtres ont hanté mes rêves »

Dans une confession stupéfiante, Bancé a révélé que son refus d’accepter ses racines Bissa de Garango a déclenché une étrange séquence de malchance. Ses propres parents auraient saboté sa tentative de record Guinness, un caméraman a mystérieusement perdu des images cruciales. Elle a fait des rêves vifs d’un aîné l’avertissant : « Pas de succès sans excuses ».

Les présumées excuses de Zeinab Bancé qui ont tout changé

Les larmes aux yeux, Bancé a admis : « J’avais tort. Peu importe combien de temps le bois reste dans l’eau, il ne devient jamais un crocodile. » Un puissant proverbe ouest-africain qui souligne sa vérité : elle est, et sera toujours, une Bancé de Garango.

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Plus que des mots, son prétendu mea culpa intervient alors qu’elle recommence son marathon culinaire raté. Mais cette fois, elle promet que les bénédictions authentiques de Bissa imprègnent ses plats, une nouvelle consécration à son métier.

Zeinab Bancé lance un appel à la guérison nationale : « Frères et sœurs burkinabè, je vous demande pardon. »

Mais, attendez ! Tout ceci n’est qu’une farce. Aujourd’hui le 1er avril et plusieurs pages ont rapporté cette Fake News. En effet, actuellement Zeinab est entre quatre murs pour sa deuxième tentative de record Guinness. Elle est concentrée et cherche cette fois-ci à corriger l’erreur commise lors de sa dernière tentative.