Depuis plusieurs semaines, l’état de santé du pape François, âgé de 88 ans, est au centre des préoccupations internationales. Hospitalisé pour une pneumonie bilatérale depuis le 14 février, le souverain pontife a connu des épisodes de détresse respiratoire récurrents, exacerbés par une ablation pulmonaire subie à l’âge de 21 ans. Malgré ces défis, les derniers bulletins médicaux indiquent une stabilisation de son état, avec une réponse positive aux traitements médicaux.

Les rumeurs sur une éventuelle démission du pape François ont été alimentées par sa fragilité croissante. Cependant, il a pris des mesures préventives en signant une lettre de démission peu après son élection en 2013, anticipant des problèmes de santé qui pourraient l’empêcher d’exercer pleinement ses fonctions. Cette démarche, bien que rare dans l’Église catholique, est légalement prévue par le Vatican et a été précédée par son prédécesseur Benoît XVI.

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Le Vatican a récemment levé le pronostic réservé concernant l’infection pulmonaire, bien que le pape reste sous surveillance médicale accrue et continue de recevoir des antibiotiques. Malgré ces améliorations, les médecins restent prudents, soulignant que d’autres complications pourraient toujours survenir.

En cette période délicate, le pape François continue de participer aux activités spirituelles de la Curie par liaison vidéo, alternant prière et repos. Sa détermination à servir l’Église malgré les défis de santé est un témoignage de sa résilience et de son engagement envers sa mission. Le pape a également suivi les exercices spirituels de Carême depuis l’hôpital, montrant ainsi sa volonté de rester actif dans ses fonctions spirituelles.

La santé du pape demeure l’objet d’une surveillance accrue, avec des épisodes d’insuffisance respiratoire récurrents. Cependant, les améliorations de son état sont consolidées, et les médecins ont décidé de lever le pronostic réservé, ce qui constitue une bonne nouvelle pour les fidèles catholiques du monde entier. Malgré cela, le pape doit poursuivre ses traitements en milieu hospitalier, et son état reste fragile.