Après des semaines de tournage intense et le dévouement d’une équipe passionnée, Khady Touré est enfin prête à dévoiler son prochain chef-d’œuvre cinématographique : Nina Torres.

Synopsis de Nina Torres

Lors d’une émission de télévision en direct, une présentatrice renommée devient la cible inattendue d’un psychopathe dérangé. S’ensuit un tourbillon de révélations troublantes, de suspense à couper le souffle et de rebondissements choquants qui tiendront le public en haleine.

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A la tête de ce projet palpitant se trouvent Khady Touré, une figure emblématique du cinéma africain, et Ray Reboul, un réalisateur chevronné connu pour son sens aigu du drame et son souci du détail. Ce duo dynamique promet de vous offrir une expérience cinématographique inoubliable.

Johnny Patcheko frappe encore contre Khady Touré ! Buzz ou vraies accusations ?

Dès que Khady a annoncé la sortie prochaine de Nina Torres, la polémique a éclaté. Le blogueur Johnny Patcheko n’a pas tardé à lancer une nouvelle vague d’attaques contre l’actrice et productrice. Mais cette fois, les fans s’interrogent sur ses motivations : dénonce-t-il vraiment un scandale ou surfe-t-il simplement sur le buzz autour du film de Khady ?

Les déclarations explosives de Patcheko

Dans un post enflammé, l’activiste nie avoir participé à un quelconque coup marketing et redouble ses accusations. Il qualifie non seulement l’animatrice de « prostituée de luxe » mais affirme également qu’elle a la somme astronomique de 74 milliards de francs CFA sur son compte en banque.

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Selon lui, Khady n’est pas la seule femme qui aurait reçu des cadeaux du ministre Adjoumani. Il affirme qu’une autre femme de Bondoukou a reçu une maison, une voiture et même un emploi au gouvernement grâce au politicien. Et comme si cela ne suffisait pas, il laisse entendre que Khady construit secrètement un duplex à Cocody, soulevant encore plus de questions sur ses sources de financement.

Khady Touré, ne voulant pas laisser ces allégations ternir sa réputation, a déjà engagé une action en justice. Elle s’est récemment rendue à la PLCC (Plateforme de lutte contre la cybercriminalité), déposant peut-être une énième plainte contre Patcheko.