La vie dans une capsule en orbite ne peut prétendre avoir rien de normal, car le moindre risque peut conduire à une catastrophe. Les astronautes, ces personnes qui y habitent, se plient alors à des règles très strictes, dont certaines ont un rapport avec leur alimentation afin de limiter les pets. Ils ont notamment interdiction de manger certains aliments.
Des pets inflammables
De nombreuses études scientifiques, dont certaines sponsorisées par la NASA, tendent à prouver que les gaz émis par l’organisme lors des pets sont inflammables. Les flatulences présentent donc des risques d’explosion surtout dans l’espace où tout est hermétique et où la pression atmosphérique est différente de celle de la terre.
Ce risque improbable a été identifié dans les années 1960 lorsqu’une étude sur les flatulences a révélé que celles-ci peuvent contenir des gaz comme l’hydrogène, le méthane, l’azote et le dioxyde de carbone. Cela est dû principalement à des bactéries qui décomposent les aliments en acides aminés, en glucose et en acides gras dans le gros intestin.
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Limiter les pets par l’alimentation
Selon les études certains aliments comme les haricots, le chou et le brocoli sont plus susceptibles de produire les flatulences. Pour limiter les pets, la consommation de ces derniers est donc strictement interdite aux astronautes devant embarquer à bord de la station spatiale et à cela s’ajoutent les régimes végétariens.
En effet, la cellulose contenue dans les légumes ne peut pas être digérée et elle produit souvent plus de gaz que chez les personnes ayant un régime alimentaire normal.
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Par ailleurs, Maddie Moate, une présentatrice américaine et experte en technologie, confirmait récemment l’existence d’un « régime spatial » strict et fade pour ces professionnels de l’espace. Elle déclarait aussi qu’il est « interdit aux astronautes de manger des germes », toujours dans le but de limiter les pets.
Il est à préciser cependant que le caractère inflammable des flatulences n’est pas général à l’espèce humaine. Les pets de certains individus peuvent contenir ainsi plus de gaz inflammables que d’autres et la NASA préfère cette seconde catégorie de personnes pour ses missions dans l’espace. Enfin, ces informations sur l’alimentation peuvent aussi aider généralement les personnes souvent sujettes aux flatulences.
Source : Unilad
Crédit Photo : Preserva Wellness