Johnny Patcheko est une nouvelle fois au centre de la polémique. Connu pour ses déclarations choc et ses attaques incessantes contre des personnalités publiques ivoiriennes, l’influenceur a fait des vagues avec ses récentes déclarations. Mais ses propos ne font pas que faire des vagues, ils suscitent l’indignation.

Ses dernières cibles ? Le journaliste Ali Diarrassouba et l’influenceuse Emmanuelle Kéita. Et avant cela, il s’en est pris à la première dame de Côte d’Ivoire, Dominique Ouattara. Ce geste à lui seul a suffi à pousser le ministère de la Femme, de la Famille et de l’Enfant à agir. Les autorités ont depuis déposé une plainte contre lui.

Accusations de fausses nouvelles et de cyberharcèlement

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La Haute Autorité de la Communication Audiovisuelle (HACA) a accusé Patcheko de diffusion de fausses informations et de cyberharcèlement. Si elles sont avérées, ces allégations pourraient avoir de graves conséquences juridiques. La loi ivoirienne est claire : ceux qui diffusent ou partagent des contenus faux ou préjudiciables en ligne risquent de lourdes sanctions.

La régulation de la liberté d’expression en ligne n’a jamais été aussi cruciale. Avec la montée des fausses nouvelles, les autorités sont sous pression pour agir. Cependant, la décision de la HACA de ne pas sanctionner Patcheko dans l’immédiat soulève des questions. S’agit-il d’un appel à une plus grande responsabilité de la part des influenceurs ? Ou s’agit-il d’une mesure visant à encourager le dialogue public plutôt que la censure ? Quoi qu’il en soit, l’affaire a déclenché des débats houleux dans tout le pays.

Debordo Leekunfa intervient pour calmer Johnny Patcheko

Malgré la pression croissante, Patcheko refuse de reculer. Il continue ses attaques, ciblant les autorités ivoiriennes et d’autres personnalités publiques. Mais cette fois, il se heurte à une résistance inattendue : l’artiste Debordo Leekunfa.

Manifestement perturbé par le drame en cours, Debordo s’est adressé directement à Patcheko sur les réseaux sociaux. Son message était simple mais ferme :

« Johnny Patcheko, s’il te plaît, dose, ça suffit !

Arrête s’il te plaît 🙏🏾. Ne fais pas ça à cause de moi. Je suis ton artiste 🙏🏾. Désolé ! »

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Un rare moment d’inquiétude de la part d’un artiste connu pour sa personnalité fougueuse. Le plaidoyer de Debordo suggère que même lui pense que Patcheko est allé trop loin.

Avec les plaintes judiciaires qui s’accumulent et les personnalités publiques qui s’opposent, Patcheko joue un jeu dangereux. Les autorités prendront-elles des mesures plus fortes ? Les personnalités publiques continueront-elles de résister à ses provocations ? Une chose est sûre : cette saga est loin d’être terminée.