Un drame terrifiant a eu lieu en Afrique du Sud, où un homme de 27 ans, Mothobi Moagi, a été arrêté pour des actes odieux sur la fille de sa compagne, âgée de seulement 8 ans. Ce crime abominable s’est déroulé dans le village d’Ikageng, à Boitekong, près de Rustenburg, plongeant la communauté dans le choc et l’effroi.

Mothobi Moagi a comparu devant le tribunal de première instance de Rustenburg le mardi 3 septembre 2024, après avoir été accusé de ces faits terrifiants. Les événements se sont déroulés dans la nuit du samedi 31 août 2024, alors que la mère des deux jeunes filles, âgées de quatre et huit ans, avait confié ses enfants à la garde de son compagnon. La mère, qui était sortie ce soir-là, était loin de se douter de l’horreur qui se préparait en son absence.

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Le crime commis par l’homme

Selon le lieutenant-colonel Amanda Funani, porte-parole de la police, la mère est rentrée chez elle aux premières heures du dimanche matin, le 1er septembre. À son arrivée, elle a frappé à la porte, mais n’a obtenu aucune réponse. Poussée par l’inquiétude, elle a fait le tour de la maison et a remarqué qu’une fenêtre avait été brisée. Une fois à l’intérieur, elle a découvert avec horreur le corps sans vie de sa fille de huit ans, allongé sur le canapé.

Les enquêteurs soupçonnent que la petite fille a été victime de violence avant d’être étouffée. Bouleversée, la mère a alerté ses voisins, qui ont immédiatement contacté les forces de l’ordre. Moagi, qui n’était plus sur place à l’arrivée de la police, a été localisé et arrêté plus tard dans la matinée de dimanche. Il a depuis été inculpé pour les actes qui lui sont reprochés.

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Le suspect a comparu devant le tribunal pour la première fois le 3 septembre, et l’affaire a été reportée au mardi 10 septembre pour une demande officielle de mise en liberté sous caution. L’affaire est suivie de près par la communauté, profondément affectée par ce crime et réclamant justice pour cette enfant innocente.

Le lieutenant-général Sello Kwena, commissaire provincial de la police, a fermement condamné cette tragédie, déplorant qu’une personne censée protéger l’enfant ait été à l’origine de cet acte impardonnable. Il a également donné des instructions aux détectives de Boitekong pour s’assurer que justice soit rendue rapidement et sans compromis.