Lors d’un live TikTok avec JP N’DA, le poids lourd du rap ivoirien Didi B a enfin abordé le sujet qui n’était pas abordé. Il a parlé de son prétendu conflit avec le rappeur Himra. Et la réponse ? Il n’y a aucun conflit du tout.

« Je n’ai rien contre Himra », a déclaré Mojaveli calmement. Il cherche ainsi à mettre fin à toutes les rumeurs et débats en ligne qui ont longtemps présenté les deux artistes comme des rivaux. Depuis des mois, les fans spéculent sur les tensions entre les deux, alimentées par des comparaisons constantes et des discussions sur les réseaux sociaux. Mais l’artiste de « Top Rap » a été clair : il n’est pas là pour les drames.

« Quand on est en colère, même entendre son nom nous dérange », Didi B

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Contrairement à d’autres qui se nourrissent de chansons diss et de querelles publiques, le rappeur a adopté un ton complètement différent. « Quand on est en colère contre quelqu’un, même entendre son nom nous irrite. Ce n’est pas ce que je ressens », a-t-il expliqué pendant le live.

Ses paroles étaient calmes, sincères et matures. Ni amertume, ni sarcasme, juste un message clair de paix. Le rappeur a rappelé que son silence n’a jamais été une stratégie, ni un coup marketing. C’est juste sa nature. Il se concentre sur la croissance, la collaboration et le développement de la scène rap ivoirienne.

Ouvert à la collaboration : « Le featuring est gratuit »

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Et juste au moment où les fans pensaient que la collaboration était impossible, Didi B a lâché une bombe : il est totalement ouvert à une collaboration avec son rival. « Je peux faire un featuring avec lui », a-t-il déclaré. « Pour mes petits frères, le feat est gratuit.» Cette phrase, tirée directement de sa chanson Bazarhoff, a fait mouche.

C’est un message puissant : Mojaveli se considère comme un grand frère, quelqu’un qui est prêt à soutenir les jeunes artistes sans rien attendre en retour. Himra n’a pas encore réagi, mais les fans imaginent déjà les possibilités. Un titre commun entre les deux ferait non seulement bouger les charts, mais enverrait un message fort : l’unité plutôt que la rivalité. Dans un genre souvent alimenté par les querelles, ce serait une révolution.