Gaëlle Taglao, l’humoriste ivoirienne bien-aimée du Web, a récemment partagé son expérience déchirante après avoir subi un lifting brésilien des fesses (BBL). Son parcours, rempli de douleur, de défis inattendus et de moments de mort imminente, a suscité des conversations sur les réalités de la chirurgie esthétique.
Dans son récit brut et sans filtre, Gaëlle s’est confiée sur les conséquences émotionnelles et physiques de la procédure. Ses propos mettent en lumière les risques cachés que beaucoup pourraient négliger.
La préparation
Gaëlle Taglao raconte les moments précédant l’opération, comment le chirurgien a cartographié son corps pour l’intervention : « Le chirurgien est venu dessiner sur mon corps, complètement nu, en marquant les zones à remodeler tout en m’expliquant les risques. Malgré cela, je suis restée concentrée sur ce que je voulais. J’avais un gros ventre, j’ai donc demandé qu’il soit remodelé en taille de guêpe tout en réduisant mon ventre. »
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Gaëlle avait également une demande spécifique concernant la graisse retirée : « Ils m’ont demandé où placer la graisse qu’ils ont retirée. Je leur ai dit que je ne pouvais pas laisser ma graisse dans un autre pays, alors ils l’ont mise dans mes hanches. »
Gaëlle Taglao révèle complications potentiellement mortelles
En entrant dans la salle d’opération, Gaëlle a été encouragée à choisir de la musique pour l’aider à se détendre. Mais la réalité de l’opération s’est vite imposée. « Quand je me suis réveillée, l’opération était déjà terminée. J’étais inconsciente à cause de l’anesthésie générale. Mais lorsque l’anesthésie s’est dissipée, j’avais tellement mal que je n’ai pas pu dormir. À ce moment-là, j’ai eu des regrets. »
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Commandez MaintenantLes suites n’ont pas été faciles. Elle a souffert d’un gonflement important, ce qui, comme elle l’a appris, était normal en raison de l’absence de drainage postopératoire.
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Les choses ont pris une tournure désastreuse pendant sa convalescence. « J’ai failli mourir à Abidjan à cause de l’anémie. J’avais perdu beaucoup de sang pendant l’opération et j’ai dû me rendre dans une clinique pour gérer la situation. Avant la BBL, on ne vous informe pas des médicaments dont vous aurez besoin par la suite. Ces médicaments sont chers et cela devient un fardeau supplémentaire. »
Le récit de Gaëlle met en évidence la douleur physique, la tension émotionnelle et le fardeau financier de la chirurgie esthétique. Au-delà du glamour souvent associé aux BBL, son histoire révèle une réalité plus inquiétante.
Elle rejoint une liste croissante de célébrités ivoiriennes qui ont opté pour des améliorations chirurgicales, mais son ouverture d’esprit sur les défis offre une perspective importante.