Une tempête se prépare à Kinshasa après la diffusion d’une vidéo sextape impliquant un enseignant et un élève du Collège Salutiste Bimwala. La vidéo, qui aurait été filmée par un camarade de classe, capture des moments intimes entre les deux, jetant l’émoi au sein de l’établissement. La diffusion rapide de la vidéo a suscité l’indignation du public, la direction et les parents exigeant des comptes.

Abus de confiance et préoccupations éthiques

Ce scandale a suscité de graves inquiétudes quant à l’éthique et à la dynamique du pouvoir au sein de l’établissement. Certains élèves, s’exprimant sous couvert d’anonymat, affirment que des soupçons pesaient déjà sur l’enseignant en question. Cependant, c’est la première fois qu’une preuve aussi explicite fait surface. La direction, désormais soumise à une pression immense, a convoqué une réunion d’urgence pour traiter la situation et déterminer les sanctions appropriées.

LIRE AUSSI : Scandale : La sextape d’une sœur et un prêtre a fuité (photo)

Le professeur Kitulu se défend : « Je suis la victime »

Dans un revirement inattendu, le professeur accusé, le professeur Carlos Kitulu, s’est exprimé, affirmant qu’il avait été manipulé par l’étudiante Plamedie.

« C’est elle qui a commencé. Elle m’a embrassé en premier, et je n’ai pas eu d’autre choix que de céder », a-t-il déclaré, alléguant en outre qu’elle avait menacé de crier s’il refusait ses avances. Selon Kitulu, c’est l’étudiante elle-même qui a divulgué la vidéo sextape, pas lui.

Alors que le scandale s’intensifie, nombreux sont ceux qui s’interrogent sur le rôle de l’école dans la prévention de tels incidents. Comment cette relation a-t-elle pu se développer ? Y avait-il des signes avant-coureurs ? Et surtout, quelles mesures seront mises en place pour protéger les étudiants à l’avenir ?

LIRE AUSSI : Kanye West : Une rappeuse transgenre promet de publier sa sextape

Les prochains jours seront cruciaux alors que l’administration, les parents et les autorités décideront de la manière de gérer cette affaire choquante. Une chose est sûre : ce scandale a secoué le Bimwala College et a profondément marqué l’opinion publique.