Le refus catégorique de Chris Brown de se produire au Kenya a suscité de nombreuses interrogations. Loin d’être une question financière, cette décision met en lumière les lacunes des infrastructures événementielles du pays.
Selon Joy Wachira, directrice générale de Madfun Group, le chanteur américain a décliné une offre alléchante, estimant que le Kenya ne dispose pas des équipements nécessaires pour accueillir un spectacle à la hauteur de ses attentes. L’artiste, habitué à des performances spectaculaires, aurait comparé les installations locales à celles d’autres pays africains, notamment l’Afrique du Sud, où il a récemment donné un concert grandiose.
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La dernière apparition de Chris Brown au Kenya remonte à 2016, lors du Mombasa Rocks Festival. À l’époque, son cachet de 900 000 dollars et le prix record des billets avaient marqué les esprits. Mais depuis, l’industrie du spectacle a évolué, et les attentes des artistes internationaux sont devenues plus exigeantes.
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Commandez MaintenantCe refus relance ainsi le débat sur la modernisation des infrastructures événementielles au Kenya. Pour attirer des stars de renom, le pays devra améliorer ses équipements et s’adapter aux standards internationaux. Le concert à venir de Burna Boy, organisé par Madfun Group, pourrait être un test grandeur nature pour prouver que le Kenya peut rivaliser avec les grandes scènes mondiales.