L’Afrique de l’Ouest est en pleine polémique après qu’une vidéo virale a secoué les réseaux sociaux. Cette nouvelle polémique religieuse a impliqué le Général Camille Makosso.
Le clip qui a tout lancé montre Mariam, une musulmane guinéenne, dansant joyeusement sur une chanson chrétienne ivoirienne dont les paroles sont les suivantes : « J’ai donné ma vie à Jésus-Christ ». Si certains ont vu cela comme une expression de foi inoffensive, cela a déclenché un débat féroce au sein des communautés religieuses, dégénérant rapidement en une controverse passionnée.
Cejas attise les flammes
L’influenceuse musulmane camerounaise Cejas a ajouté de l’huile sur le feu en publiant une vidéo cinglante. Dans celle-ci, elle qualifie les chrétiens de « mécréants », suscitant l’indignation au sein des communautés chrétiennes. Ses propos ont déclenché une avalanche de débats en ligne sur la tolérance religieuse, la liberté d’expression et le respect des diverses croyances. La tension s’est accrue à mesure que la vidéo a circulé, divisant les opinions et approfondissant le fossé entre les communautés.
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La réponse enflammée de Camille Makosso
Le pasteur ivoirien Camille Makosso, connu pour son franc-parler, n’a pas hésité. Dans une vidéo virale, il s’en est pris à Cejas, la qualifiant de « sorcière » et condamnant ses propos comme incendiaires.
Tout en appelant à l’amour et à la tolérance, Makosso a souligné que la foi est profondément personnelle et doit être respectée par tous. Sa réponse audacieuse a suscité des réactions mitigées : certains l’ont félicité pour avoir défendu les chrétiens, tandis que d’autres ont critiqué le ton dur de ses propos.
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Commandez MaintenantL’ultimatum de l’imam
Alors que les tensions atteignaient un point d’ébullition, le leader musulman respecté, l’imam Hamidou Berthe, est entré dans la mêlée. Il a lancé un ultimatum public à Makosso, exigeant des excuses dans les 72 heures. Le non-respect de cette obligation, a averti l’imam, entraînerait des poursuites judiciaires contre le pasteur. Cette menace a introduit une dimension juridique dans une situation déjà volatile, augmentant les enjeux pour les deux parties.
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Le pasteur Makosso, souvent une figure polarisante, fait désormais face à une pression croissante pour répondre aux demandes de l’imam. Va-t-il s’excuser pour apaiser les tensions, ou rester sur ses positions et risquer des poursuites judiciaires ? Le résultat pourrait créer un précédent quant à la manière dont les personnalités publiques aborderont à l’avenir les questions religieuses sensibles.