Depuis des heures, une vidéo choc circule sur les réseaux sociaux. Dans le marché animé d’Ekounou, au cœur de Yaoundé, une femme à la peau claire se dévêt devant des passants médusés. Les bouches se sont ouvertes, les yeux écarquillés. Certains ont regardé avec incrédulité, tandis que d’autres se sont contentés de contempler ce spectacle inattendu. Mais la vraie question demeure : pourquoi a-t-elle fait cela ?

Une présence perturbatrice sur le marché

Selon des témoins, cette femme nue n’était pas une cliente ordinaire du marché. Beaucoup affirment qu’elle volait l’attention des clients potentiels aux commerçants locaux. Les acheteurs, hypnotisés par la scène qui se déroulait, ont oublié leur liste de courses et sont rentrés chez eux les mains vides, réalisant seulement plus tard qu’ils s’étaient plus amusés que productifs.

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Femme nue au marché d’Ekounou : Rituel occulte ou simple coup de pub ?

Si les spéculations vont bon train, une explication se dégage. Certains pensent qu’elle n’était pas atteinte de maladie mentale mais qu’elle accomplissait un étrange rituel initiatique.

« Le vrai problème n’est pas elle, c’est le marabout qui est à l’origine de cette folie. Il faut l’arrêter », a déclaré un observateur. « Ces choses-là se produisent toujours aux carrefours ou dans des endroits bondés comme les marchés, car ce sont des sources d’énergie intense. »

Un autre témoin a été plus direct : « Il vaut mieux rester pauvre que faire ce genre de choses pour de l’argent. Et puis, tout de suite, elle va exhiber le dernier iPhone et des extensions de cheveux hors de prix. C’est pathétique ! Les gens ne se rendent pas compte qu’en la regardant, ils alimentent le phénomène. »

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Une tendance inquiétante dans les espaces publics

Malheureusement, ces actes bizarres sont de plus en plus fréquents. Des analystes spirituels préviennent que les sociétés secrètes recrutent de plus en plus de femmes pour des rituels publics afin de drainer l’énergie des spectateurs.

« Les sectes ont pris le dessus », explique un expert du sujet. « Avant, c’étaient les hommes qui s’engageaient pour l’argent. Aujourd’hui, ce sont les femmes qui s’engagent. Quand les gens assistent à ces démonstrations, ils perdent sans le savoir des opportunités, transférant leur énergie sur l’exécutant. »

Rituel, coup de pub ou signe de détresse psychologique, une chose est sûre : l’incident du marché d’Ekounou a une fois de plus mis en lumière un phénomène inquiétant dans les espaces urbains camerounais.