Baltasar est un nom qui résonne désormais partout. Sur les lieux de travail, sur les réseaux sociaux, à la maison et dans les médias, tout le monde parle de l’homme au centre d’un scandale sexuel très médiatisé. Il est devenu un sujet quotidien, suscitant des questions, des inquiétudes et des jugements.

Une jeune femme a récemment rencontré le sujet dans un endroit inattendu : un entretien d’embauche. Son expérience montre à quel point l’histoire du haut fonctionnaire de la Guinée équatoriale est devenue omniprésente, influençant même les conversations professionnelles.

Une question inhabituelle lors d’un entretien d’embauche liée au scandale Baltasar

Lors de son entretien pour un poste de secrétaire de direction, cette candidate a été surprise lorsque le recruteur a évoqué le scandale. Le recruteur lui a demandé son avis sur les vidéos largement diffusées liées à Baltasar, ajoutant : « Une secrétaire devient souvent la confidente du patron. »

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La jeune femme, choquée par la tournure de l’entretien, a déclaré : « On m’a demandé à plusieurs reprises ce que je pensais des vidéos qui circulaient. J’ai été décontenancée par une telle question et je ne savais pas comment répondre. »

Le recruteur ne s’est pas arrêté là. Il lui a également demandé si elle pouvait « garder des secrets », une question qui l’a mise mal à l’aise et méfiante. « Des questions comme celles-ci m’ont laissée avec de sérieuses inquiétudes. Que recherchait-il exactement chez une secrétaire ? » s’est-elle demandée.

Les médias sociaux pèsent dans la balance : doit-elle accepter le poste ?

Alors que la conversation la faisait repenser au poste, elle a commencé à se demander ce que ce type de question signifiait pour son avenir si elle était embauchée. « Si j’obtiens le poste, comment vais-je gérer un patron comme celui-là ? Dois-je m’attendre à plus de questions sur ma vie privée ou mon éthique lors des prochains entretiens ? » s’est-elle demandée.

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De nombreux observateurs sur les médias sociaux lui conseillent de bien réfléchir. Ils voient des échos des actions controversées de Baltasar dans le comportement de son recruteur, ce qui laisse entrevoir une culture de travail qui pourrait brouiller les frontières professionnelles. Certains pensent que les questions du recruteur impliquent un environnement de travail potentiel mêlant questions personnelles et obligations professionnelles.

Le conseil général qu’elle a reçu ? Si l’intégrité personnelle et le respect professionnel sont des priorités, accepter ce poste peut être risqué.