Burna Boy, l’un des artistes les plus riches et les plus prospères d’Afrique, attribue une grande partie de son succès au soutien indéfectible de ses proches, en particulier de sa mère.

Son ascension vers la célébrité n’est pas seulement une histoire de talent, mais aussi une histoire de profonde gratitude et de reconnaissance envers ceux qui ont cru en lui dès le début.

Le sacrifice d’une mère

Né Damini Ebunoluwa Ogulu, l’artiste parle souvent du rôle crucial que sa mère a joué dans son parcours. Dès l’âge de 13 ans, lorsqu’elle a remarqué son talent musical pour la première fois, sa mère est devenue son plus grand soutien. Elle ne s’est pas contentée de l’encourager ; elle a investi son temps, son énergie et ses ressources pour nourrir sa carrière naissante.

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Elle l’a aidé à monter son premier studio, utilisant ses économies pour acheter les instruments nécessaires. Son dévouement est allé encore plus loin lorsqu’elle a quitté son emploi pour devenir sa manager à temps plein, s’assurant que les rêves de Burna avaient les bases nécessaires pour s’épanouir.

Burna Boy  fait la part belle à sa mère

Dans une récente interview, il a révélé la profondeur de sa gratitude pour les sacrifices de sa mère. « Quand j’ai gagné mon premier million, je l’ai donné à ma mère », a-t-il partagé. Cet acte n’était pas seulement une question d’argent ; c’était un geste symbolique, reconnaissant que sans elle, son succès n’aurait peut-être pas été possible.

La star nigériane a exprimé son désir de donner à ses propres enfants le même genre d’amour et de soutien que sa mère lui a donné, démontrant l’impact durable que ses efforts ont eu sur sa vie.

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La mère de Burna, qui l’a accompagné tout au long de sa carrière, s’est également confiée sur les défis auxquels ils ont été confrontés. Gérer un artiste en herbe au début n’est jamais facile, surtout lorsque la stabilité financière est incertaine. Elle se souvient des moments difficiles, où elle devait jongler entre son travail et la gestion de la carrière de son fils, tout en subvenant aux besoins de sa famille.

« J’ai commencé à gérer Burna Boy il y a 13 ans. J’ai lu son premier contrat d’enregistrement en 2010 et je lui ai demandé de le signer. Mais à l’époque, la musique ne pouvait pas payer les factures. Je travaillais donc toujours dans l’ombre, tout en faisant mon travail », a-t-elle déclaré.

Sa foi en son fils talentueux n’a jamais faibli et elle l’a constamment motivé à viser plus haut, à ne jamais se contenter de moins. Aujourd’hui, leur travail acharné a porté ses fruits, Odogwu obtenant un succès et une reconnaissance internationaux.