Le séjour de Baltasar Ebang Engonga en prison n’a rien d’ordinaire. Connu pour ses vidéos controversées mettant en scène les épouses de hauts fonctionnaires, il s’est retrouvé la cible de représailles sévères.

Des rapports de Média Afrique révèlent qu’il a subi d’horribles violences sexuelles pendant sa détention, avec des allégations de viol et de sodomie faisant surface au milieu du chaos.

Baltasar aurait fui le pays

Le scandale a commencé lorsque des vidéos explicites de Baltasar avec des femmes influentes ont été rendues publiques. Ces vidéos auraient suscité l’indignation de personnalités influentes en Guinée équatoriale, ce qui a conduit à son arrestation pour détournement de fonds financiers. Cependant, la réaction négative ne s’est pas limitée aux accusations judiciaires : ses vidéos ont révélé des vendettas personnelles qui ont fait de lui une cible d’abus au sein du système pénitentiaire.

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Après sa libération, le sextapeur a fui la Guinée équatoriale, craignant pour sa sécurité. Si ses escapades lui ont valu l’admiration de certains, elles lui ont valu des ennemis qui n’hésiteront pas à riposter. L’Espagne est devenue son sanctuaire, où il espère laisser le scandale derrière lui et vivre en paix.

Verdict judiciaire

Étonnamment, Baltasar a été acquitté par la Cour suprême de Guinée équatoriale. Griote Media rapporte que malgré la nature explicite des vidéos, le tribunal n’a trouvé aucune preuve de coercition. Toutes les femmes impliquées ont été jugées adultes consentantes et les tests médicaux ont confirmé l’absence de transmission de maladies.

L’affaire Baltasar continue d’alimenter les discussions sur le pouvoir, la corruption et les conséquences des actions privées qui débordent sur le domaine public.