L’affaire « Baltasar », qui a secoué les institutions équato-guinéennes cette année, continue de révéler des détails choquants. Ce mélange explosif de corruption et de révélations intimes a laissé des traces indélébiles, notamment en raison de l’implication du secrétaire personnel du principal concerné, Ebang Engonga, ancien directeur de l’Agence nationale d’investigation financière (ANIF).
Des vidéos qui ont brisé des réputations
L’enquête sur les méfaits du haut fonctionnaire a mis au jour une mine de vidéos compromettantes stockées sur ses serveurs. Ces enregistrements, désormais largement diffusés sur les réseaux sociaux, ont révélé des relations extraconjugales impliquant plusieurs femmes, dont certaines étaient mariées à des personnalités importantes. Les retombées de ces révélations ont provoqué des crises dans de nombreux foyers, révélant un réseau d’infidélités jusque-là cachées.
Parmi les personnes impliquées dans ce scandale, la secrétaire de Baltasar a attiré l’attention. Apparaissant dans plusieurs vidéos explicites, elle a été vue en train de se livrer à des actes intimes avec son patron, souvent dans des cadres professionnels tels que des bureaux ou des hôtels. Cette relation a mis en lumière des abus de pouvoir et une frontière floue entre les frontières personnelles et professionnelles.
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Malgré son rôle central, l’assistante, une femme mariée, a gardé le silence au milieu du tumulte. Des rapports récents suggèrent qu’elle a quitté le Gabon pour s’installer en Belgique avec son mari. Étonnamment, leur mariage semble avoir résisté au scandale. Cette décision semble être une tentative de prendre un nouveau départ, loin de l’examen incessant des médias et du jugement de la société.
L’affaire Baltasar va bien au-delà des indiscrétions personnelles. Elle a déclenché des discussions sur la corruption systémique, l’abus de fonction publique et le manque de responsabilité au sein des institutions de la Guinée équatoriale.