Le cas tristement célèbre de Baltasar Ebang Engonga, ancien directeur général de l’Agence nationale d’investigation financière (ANIF) en Guinée équatoriale, a pris une nouvelle tournure. Avant sa sortie de prison, le sextapeur a subi des tests obligatoires de dépistage du VIH et des maladies vénériennes. Les résultats ? Sans équivoque : Baltasar n’est ni séropositif ni porteur d’une infection sexuellement transmissible.
Ce certificat de bonne santé a joué un rôle crucial dans son acquittement, d’autant plus que de nombreuses vidéos de ses relations sexuelles, impliquant plus de 400 femmes, ont été rendues publiques. Parmi ces femmes se trouvaient, semble-t-il, les épouses de hauts fonctionnaires du régime de Malabo, ce qui a rendu le scandale encore plus sensationnel.
Du pouvoir au scandale : la chute d’un haut responsable
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Baltasar, le fils de Balthazar Engonga Edjo’o, l’actuel président de la CEMAC, a vu sa carrière s’effondrer lorsque le scandale a éclaté. Il a été rapidement démis de ses fonctions à l’ANIF après que ses vidéos explicites sont devenues virales. Malgré l’indignation publique et les ramifications politiques, l’équipe juridique de Baltasar a maintenu qu’aucune coercition n’était impliquée dans les relations.
Au milieu des révélations, une femme, décrite comme étant à la peau claire et mariée, a déposé une plainte contre Baltasar. Elle a affirmé que certains des actes intimes avaient été enregistrés sans son consentement, tandis que d’autres, bien que consensuels, étaient censés rester privés et ont ensuite été supprimés.
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Commandez MaintenantS’adressant aux médias locaux, elle a exprimé sa consternation : « Je me sens brisée et trahie. Ces vidéos n’étaient pas censées finir sur les réseaux sociaux. »
Son histoire souligne le bilan personnel du scandale, en particulier pour ceux dont la vie privée a été mise sous les projecteurs.
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Pourquoi le test VIH était essentiel dans l’affaire Baltasar
Le test VIH a été essentiel pour répondre à une préoccupation cruciale découlant de la promiscuité du haut responsable et du partage généralisé de ses enregistrements. Alors que beaucoup ont critiqué les implications morales de ses actes, le tribunal a statué que toutes les relations impliquaient des adultes consentants.
Les résultats du test, combinés à l’absence de preuve de coercition, ont conduit à la libération de Baltasar.
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