« C’est Booba qui est … » : Akon dévoile l’origine de sa collaboration avec 50 Cent

Lors de sa récente apparition sur la radio Skyrock, Akon a fait une révélation qui a fait vibrer le monde du hip-hop. L’artiste américano-sénégalais a révélé que sa collaboration emblématique de 2007 avec 50 Cent, I’ll Still Kill, était directement inspirée de la légende du rap français Booba.

Le chanteur et producteur de 51 ans a expliqué que Fifty avait spécifiquement demandé un son rappelant Lunatic, un morceau du pionnier du rap français. Selon Akon, 50 Cent était déjà un grand fan de Booba à l’époque et souhaitait apporter cette même énergie à la scène rap américaine.

« Cette chanson a été inspirée par Booba » : la surprenante confession d’Akon

Le chanteur n’a pas hésité à détailler la naissance de I’ll Still Kill. S’adressant aux animateurs de Skyrock, il a admis que le rythme sombre et agressif du morceau et son refrain mélodique avaient été conçus en fonction du style de Booba.

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« Cette chanson a été inspirée par Booba. Quand j’ai conçu cette chanson, Fifty m’a dit qu’il voulait quelque chose comme Lunatic. Puis je lui ai demandé d’où il connaissait Lunatic, et il m’a dit que Booba avait un flow de fou, et qu’il voulait quelque chose comme ça pour les États-Unis« , a révélé la star sénégalaise.

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Cette révélation jette un nouvel éclairage sur l’influence de Booba au-delà de la scène rap française. Elle confirme que sa musique avait déjà atteint les oreilles internationales au début des années 2000, laissant une empreinte sur certains des plus grands noms du hip-hop américain.

Une collaboration qui en a donné naissance à une autre

La collaboration de Booba avec Akon sur Lunatic avait déjà fait des vagues sur la scène rap française. Cependant, peu de gens savaient que cette connexion influencerait plus tard le travail du Sénégalais avec 50 Cent. L’énergie brute et l’aura menaçante de I’ll Still Kill ont été directement façonnées par l’essence du son de B2O.

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Plus d’une décennie plus tard, I’ll Still Kill reste un classique, prouvant que l’art de B2O s’est étendu bien au-delà de la France. Cette révélation de la star sénégalaise renforce encore davantage le Duc de Boulogne en tant que figure clé de la culture hip-hop mondiale.

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